Aprés la bataille

Le brave chevallier Coluche rentra d'une bataille bien gagné avec son ami gueldrick.
Ils ont tous deux défendus les habitants de la cité VOS, en portant leurs attaques sur un être cher aux yeux de l'assaillant.
L'ami Gueldrick, la fatique se fît sentir, partit se coucher en laissant Coluche regagner sa chambrée.
Il était content et satisfait de cette nuit et de cette victoire, mais il manquait quelque chose de crucial pour accompagner et faire partager sa joie.
Il se tourna, retourna, encore et encore éspérant trouver le sommeil mais rien n'y fût, il pensait constament à sa belle, l'empéchant de trouver le sommeil tant voulu.
Il se rhabilla, sortit, et cria de toute ses forces son nom, regardant à droite et à gauche pour essayer d'apercevoir une silhouette arriver dans le noir au son de sa voix.
Rien, il était seul et désepéré.
Ceci a duré plusieurs heures, il a tellement crié que même les loups se sont tuent.
Il décida enfin de rentrer, triste, en allant se coucher une dernière fois pour, il l'espere, dormir un peu.
Ses yeux étaient humides tellement le chagrin était présent.
Il aurait préféré mourir que de subir ce manque de présence de son être si chère à ses yeux et à son coeur.
Mais l'idée de ne plus jamais la revoir le dissuada de mettre fin à ses jours.
En pensant encore et encore à sa dulcinée, ses yeux se fermaient enfin, laissant échapper une larme qui coulait le long de sa joue, puis s'endorma ainsi, seul.............mais amoureux

Maleck se dirigeait vers son destin et il passa devant la maison de coluche, il était évident que c'était vers lui que le coeur de leen allait, mais Maleck ne pouvait se résoudre à lui en vouloir, il s'approcha de la porte et se servit du dernier pouvoir qu'il lui restait, celui du sang et traca une rune de protection au dessus de celle-ci en utilisant les larmes de sang ruisselant de ses yeux.

Puisse ceci te protéger toi qui réussira là où j'ai échoué, rends la heureuse.

Puis, il s'éloigna, semblant rapetisser, il perdait son aura mystique.

Adieu mon ami, adieu ...... mon frère.

Maleck reprit sa route vers Fenrir ne laissant derrière lui que les quelques larmes de sang qui perlaient dans la neige.

Niarkinou trouva le chemin long et épuisant, se reposa quelques minutes dans un arbre de la fôret enchanté. Ces yeux n'avaient cesser de garder le violet durant toute la route. Niarkinou se reposant sur cette arbre, s'aperçut que quelqun la suivait.

-qui est tu? dénonce toi ou je n'y répondrais plus de moi même.

-Cesse de faire l'enfant, tu sais très bien qui je suis.

Puis niarkinou s'approcha de cette voix si familière. Et elle vit une ombre.

-cette ombre...Cesse de me suivre.

-Si seulement je pouvais sa serait fait mais rapelles-tu, tu lui dois quelque chose.

La colère de niarkinou ne se tient plus.Elle sauta de l'arbre pour agresser l'ombre.

-aaaaaaah cesse de m'importuner, dégage. Dis lui bien qu'il aura ce qu'il voudra au temps venu. Maintenant, pars !!!

-bon d'accord mais je reviendrais.

Niarkinou de colère, retourna sa cape et partit ces pieds s'enfoncant dans la neige et ces yeux ne cessant de virer sur le violet.

Maleck avançait lentement malgrès la tempète qui faisait râge, visiblement les dieux faisaient tout pour l'empécher d'avancer vers son but. Il arriva malgrès tout jusqu'à la jonction des deux rivières de sang et de bave. Il regarda alors le rocher, et pour la première fois depuis longtemps il eu un sourire.

Enfin, la fin du voyage.

Il retira sa chemise, tachée du sang de ses larmes et collée à sa peau par la neige et le vent puis se débarassa de ses bottes détrempés qui semblaient peser une tonne. Il s'appretait à gravir le rocher lorsque la tempète disparu brutalement. Il se retourna et vit un cavalier dissimulé par un long manteau à capuchon sur un cheval d'une couleur pâle, presque livide. Derrière lui se tenaient trois autres cavaliers, l'un portant une épée, monté sur un cheval d'un rouge écarlate, l'autre portant une balance et monté sur un cheval vert et le dernier était ceint d'une courone et brandissait un arc, monté sur un cheval blanc.

L'individu en manteau noir s'adressa à lui.

-Nous voici à la croisée des chemins. Ce qui vous attends là haut ne fait aucun doute. Ce qui vous attends après dépend de vos choix, vous pourrez décider de rester éternellement prisonier dans le néant à réfléchir au passé..... où nous rejoindre.

-Passez votre chemin, je veux juste disparaître.

L'archer dit:

-Pensez vous que les faux dieux que vous avez servit vous laisseront disparaître?

Celui qui portait la balance renchérit:

-Ecoutez notre proposition, vous n'avez rien à perdre, alors que vos gains pourraient être élevés

Le premier repris alors:

-Une fois la fin venue, Odin s'emparera de votre âme pour l'enfermer dans le néant, il vous dira que nul ne viendra jamais à votre aide, que lui seul contrôle cet espace hors du temps...... mais c'est faux, nous pouvons vous aidez si vous nous ouvrez votre coeur.

-Mon coeur? Vous le trouverez quelques lieues plus loin, pourrisant dans la neige, ce qui ne m'est plus utile je m'en débarasse

Le porteur de balance frissona et se tournant vers les autres dit:

Pour moi il est prêt.

Il parti alors au galop et disparu au loin. Maleck s'impatienta:

-Vous me faites perdre mon temps, j'ai un combat à mener.

Le guerrier à la monture rouge sourit et parti sur un signe de tête approbateur.
Le porteur de couronne dit alors:

-Vous êtes téméraire, mais que ferez vous devant Odin?

-Odin n'est qu'un enfant capriceux qui n'aime pas que ses jouets se révoltent, je ne le craînt pas.

Le cavalier blanc hocha la tête

-Il est prêt pour moi aussi.

Puis disparu à son tour.
Le dernier cavalier prit la parole.

-Vous savez donc ce qui vous attends?

-Depuis le temps que je veux que ça finisse, je sais en effet ce qui m'attends.

Maleck se retourna alors vers l'immense rocher et entreprit son ascession. Le dernier cavalier ôta alors sa capuche, révélant un crâne orné de lambeaux de peau morte.

-En effet mes frères, nous avons trouvé notre maître et dans quelques minutes il sera prêt pour moi aussi.

Il effleura le rocher de la main et la pierre s'effrita sous ses doigts, quand il la retira le visage de Maleck était gravé dans la pierre, visage qu'aucun mortel ne reverrait..... sous cette forme sauf sur ce rocher.

après déjà quelques lieux de marche, la colère de niarkinou se calma. Elle prit l'initiative de chercher à manger et un endroit où elle pouvait se reposer tranquilement. La chaleur de La taverne lui manqua d'un seul coup.

-Ne te détournes pas de ton chemin, princesse.

-gné?

Puis un long silence, ce long silence que niarkinou n'aimait guère. Elle reprit sa chasse après ce leger repos.

Ce qui se passa alors en haut du rocher n'est conté dans aucune saga, le commun des mortels ne sût jamais qu'il avait frôlé la destruction. Les Ases arrivèrent dans leurs chars, réemprisonnèrent Fenrir qui gisait, gravement blessé, puis jettèrent le corps de Maleck au bas du rôcher, alors Odin en personne apparut devant son âme qui se tenait debout à l'endroit même où il avait combattu Fenrir.

Tu as trahis les pouvoirs que je t'ai donnés, tu as transgressé mes ordres et tu as failli déclencher Ragnarock en libérant ce loup maudit. Je devrais détruire ton âme mais la punition ne serait pas assez grande, tu sera donc emprisonné dans les glaces de la pureté, privé de tous tes sens, tu aura l'éternité pour réfléchir.

Odin se retourna

Lenneth!

Une valkyrie approcha.

-Cet être est codamné à l'emprisonnement éternel dans les glaces de la pureté, exécute mon jugement et fait le ensuite installer dans ma salle des trophés.
-Bien mon seigneur.

Lenneth posa sa main sur l'âme de Maleck qui n'avait jamais détourné le regard d'Odin, même lors du jugement, elle prononça quelques mots et alors même que l'âme était prisonnière de la glace Odin put clairement entendre la voix de Maleck.

-Contemple l'alpha de ton oméga, faux dieu, je ne resterai pas enfermé longtemps.

Odin savait qu'un fois emprisonné dans les glaces de la pureté, seul les ases pouvaient s'affranchir de leur écrin, il estima alors que les paroles qu'il avait entendues étaient le fruit de son immagination. Le cortège reparti en Asgard et lorsqu'il fut hors de perception les quatres cavaliers se réunirent autour de la dépouille de Maleck, le cavalier au manteau noir prit alors la parole:

Il est prêt, contemplez mes frères celui qui nous mènera vers notre destinée.

Il descendit alors de cheval et placa le corps de Maleck sur l'arrière de sa selle et dit

Rentrons maintenant mes frères, la cérémonie de l'appel doit débuter au plus tôt.

après avoir trouvé de la nourriture, niarkinou s'était endormie. Elle se réveilla que au bout de quelque heures alors que la nuit était déjà retombé.Elle repris son long voyage vers sa destiné.

-dur, dur ,dur

Odin prit place sur son trône et contemplait l'âme de Maleck enfermée dans les glaces de la pureté.

Jusqu'au bout tu aura été imprévisible, quel grand guerrier tu aurait fait si le démon que j'avais envoyé détruire tes sentiments avait accompli sa mission.

Il se releva et s'approcha de son nouveau trophé puis, alors qu'il s'apprétait à dire quelque chose, il remarqua que les yeux de Maleck étaient ouverts et le fixaient, emplis d'une haine intense.

C'est impossible tu n'as pas la capacité de te soustraire à ce pouvoir!

Odin entendit alors quatre voix qui semblaient venir de l'interrieur de la glace prononcer des paroles qui lui étaient que trop familières. Dans le plan le plus sombre du Pandemonium une cérémonie occulte avait lieu pour récupérer l'âme de Maleck.

Les quatres cavaliers entouraient la dépouille de Maleck, l'archer s'approcha et posa sa main sur le front de Maleck

Par quatre fois tu as subit le joug de faux dieux et tu t'es rebélé, reçoit l'allégence de Antédeii.

Il retira sa main et un sceau de sang était gravé sur le front de Maleck. Le porteur de balance s'approcha à son tour et posa sa main sur la paume gauche de Maleck.

Par quatre fois tu as donné plus que tu n'as reçut, tu as souffert du manque et de la solitude, reçoit l'allégence de Famine.

Un autre sceau apparu là ou la main du cavalier s'était posé. Le guerrier posa sa main sur le dos de la main droite de Maleck.

Par quatre fois tu t'es lancé de ton propre chef dans des combats que tu savait perdus, reçoit l'allégence de Guerre.

Un autre sceau puis ce fût au tour du dernier de poser sa main décharnée à l'endroit où se situait autrefois le coeur de Maleck.

Par quatre fois tu es mort pour assumer tes décisions, sans aucun regret tu as donné ta vie pour tes choix, reçoit l'allégence de Mort.

Les quatres cavaliers s'agenouillèrent et d'une seule voix prononcèrent la phrase qui fit trmbler Odin alors que celui-ci voyait les glaces retenant Maleck se fissurer.

Les quatres cavaliers ont trouvé leur maître, vennez à nous Seigneur Apocalypse.

La glace ce brisa et Maleck saisit le cou d'Odin de sa main droite.

Quand j'aurai atteind le maximum de mon potentiel tu répondra de tes crimes envers moi et ceux que j'ai fait souffrir par ta faute.

L'âme de Maleck se dissipa alors comme chassée par un vent magique et son corps reprit vie, les quatres sceau disparurent et un nouveau sceau, fusion des quatres, apparu dans son dos, il resterai gravé dans le corps de Maleck à tout jamais, ce symbole serait celui de la chute des dieux. Il se releva alors et s'adressa aux cavaliers.

Mes amis, je vous remercie de m'avoir libéré et de m'avoir conféré vos pouvoirs, que notre croisade débute, mais attention, seuls les dieux et leurs défenseurs subiront notre courroux, les humains devront rester hors du conflit.

Guerre s'approcha de lui

-Monseigneur les humains ne sont pas essenciels nous devrions les détruire eux aussi.
-J'ai subit les manigances des mystiques, je ne laisserai personne les subir à son tour.
-Bien seigneur.
-Maintenant je dois me reposer, et je sais où je le pourrait.

Maleck disparu dans les ombres et se retrouva devant un lieu familier, la taverne où il avait été tavernier. Sa transformation était telle qu'il savait que ceux qu'il avait autrefois servi risquaient fort de ne pas le reconnaître, il rabattu alors la capuche de son manteau, entra et monta directement dans sa chambre sans prendre le temps de les saluer.

Niarkinou toujours en route pour son destin, continua à marcher malgré l'épuisement.
Elle ne cessa de marcher sans trouver ce qu'elle cherchait vraiment. Et après peut etre 3heures de marche elle trouva enfin la caverne.

-Je suis là, maintenant ramène toi.

Et là, apparut le chevalier qui la suivait depuis le début. Et il sortit de sa cape une longue épée.

-enfin, tu te décides !!!

Et le combat commença, nulle ne savait qui allait gagner niarkinou ou cette étrange chevalier de l'ombre.

-aaaaaaaah !!

La bataille fut longue et dur, les coups étaient donnés avec forces.Niarkinou fut touché gravement.

-sache que tu mourras devant moi !! cria le chevalier
-sache que je ne me laisserai pas mourir comme ca.

Et la niarkinou par terre, se retourna et pris son épée pour l'enfoncer dans le ventre du chevalier. Et le chevalier s'effondra, étonné de ce coup violent. Niarkinou croyant la bataille gagné, se retourna soulagé que cette bataille soit enfin fini.

-p'tin tu commences vraiment à me faire chier.

Et là, le chevalier se releva avec un dernier effort et enfonça son épée d'un coup breve dans le ventre de Niarkinou.

-bordel de merde soupira niarkinou

Et de colère, niarkinou pris son épée et découpa la tete du chevalier et il tomba à terre raide mort.

-sache que ma vie vaut plus que la tienne.Et je la defendrais jusqu'au bout.

essouflée de ce combat, niarkinou s'effondra dans la neige.

Alors qu'il pénétrait dans sa chambre, Maleck fit sortir ses deux servantes qui n'osaient plus essayer de le calmer depuis le départ de leen. Une fois la porte refermé Il abandonna la forme de Maleck pour reprendre sa vraie forme. La lumière disparu alors de la pièce malgrès les fenètres grande ouvertes. Il invoqua un doppëlganger qui prit immédiatement la même apparence que lui. Il apposa alors sa marque sur la créature polymorphe et commence alors à la frapper de toute ses forces, la créature ne semblait pas en souffrir alors que le sang montait à la bouche de Maleck.

Seigneur Apocalypse ...... Un titre pompant pour un idiot qui n'a pas sû retenir celle qu'il aime, pour moi tu n'es qu'un moins que rien, tu ne devrait pas exister.

Il continua le combat pendant des heures, insultant son double à chaque coup puis il tomba à genoux, la créature disparut et il se mit à pleurer.

Pourquoi dois-je toujours souffrir de ma faiblesse?

Ses quatres cavaliers l'observaient à l'oposé de la pièce, Guerre intervenu alors:

Aurions nous fait erreur? Il me semble faible. Peut être devrais-je abréger ses souffrances.

Mort l'arréta:

C'est parcequ'il souffre qu'il sera invincible, laisse le pleurer ça l'endurcit et bientôt il dépassara les précédents.